Catégories : Gang bang FANTASME Femmes soumises sexuelles
il y a 3 ans
Les échanges de pouvoir érotiques et sexuels font peur et fascinent à la fois tout en générant des sensations puissantes.
A 19 ans, Vanessa aimait à se donner corps et âme à son Maître, il avait une approche globale des perversions sexuelles lui permettant de mieux les appréhender et de les vivre. Il n’arrêtait pas de lui dire : « qu'est-ce qu'une perversion, sinon une excellente intention au nom de l'orgasme » ?
Dans ses bras puissant, puis dans ses entraves, elle s’est donnée à lui sans limite en y éprouvant des jouissances si titanesques quelles sont rares. Depuis qu’il a rompu leur relation, Vanessa n’arrive plus à jouir comme avant. Les quelques amants rencontrés ne lui ont jamais permis de retrouver les divines sensations connues sous la contrainte. Il lui manquait à chaque fois ces liens qui la libéraient.
Elle tente bien d’apaiser ce feu qui couve en elle en regardant que d’une main, les vidéos de BDSM sex de la rubrique « Femme soumises sexuelles » sur Fessestivites. Voir les filles entravées subissant les pires outrages l’excite au plus haut point. Elle s’est même essayée au selfbondage, il lui manquait le principal : la perte de contrôle totale avec quelqu’un. Un an plus tard, n’en pouvant plus de vivre des déceptions sous la couette et de ses jeux solitaires, elle reprend contact avec Daniel, son ex Maître. Elle lui avoue de but en blanc qu’elle désire vivre un gang bang BDSM comme elle lui avait toujours refusé.
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Sans limite, je décide de tout ? Lui répond Daniel.
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Oui sans limite, j’ai confiance en vous. Je sais que je vivrai la misère sans aucun danger.
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Es-tu vraiment sûre ?
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Oui Maître.
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Comme tu le sais, sans limite signifie qu’une fois lancé, tu ne peux plus dire « non » à rien ni stop.
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Oui Maître, c’est ça qui me fait le plus fantasmer.
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Est-ce une tentative pour te rapprocher de moi et redevenir ma soumise ?
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Non Maître, je le jure, j’ai compris que vous ne m’aimez pas mais comprenez-moi, avec qui puis-je vivre ça sans prendre de risque ?
Pendant cette discussion, Vanessa lui promet qu’elle ne le contactera plus s’il ne le désire pas. Elle l’aime assez pour ne plus jamais le contacter s’il le désire. Cette phrase le touche, il cède à la demande et lui promet à son tour de lui organiser une belle soirée. Folle de joie, le soir même ses doigts se déchaînent lors de ses surfs sur les vidéos de femmes soumises sexuelles. La peur de ne pas être à la hauteur la travaille un peu dans les jours qui suivent, puis celle que ce soit au-delà des limites de sa résistance. Cette fameuse barrière que l’on rêve de repousser tout en l’appréhendant titille les neurones des soumis et soumises.
Le rendez-vous est pris, Daniel a refusé de lui en dire plus. Elle sait qu’elle doit être propre, belle, parfumée et arriver chez lui à 21 heure. Toute penaude et les doigts tremblants, Vanessa appuie sur l’interphone de sa villa à l’heure précise, elle ne s’est pas amusée à le faire attendre comme elle l’a déjà fait par le passé. Il la fait patienter quelques instants avant de lui ouvrir, le temps nécessaire pour que ses amis et hardeurs se cachent. A peine entrée dans la maison, ses réflexes reviennent, elle s’agenouille et lui baise la main. La paire de gifles modérées qui lui donne en réponse la ramène immédiatement un an en arrière en lui faisant chaud au coeur. Il n’a pas oublié qu’elle aime les gifles et être bousculée.
Conduite au salon, Vanessa aperçoit la chaîne et les menottes qui pendent de la poutre centrale. Il lui pose aussitôt un bandeau sur les yeux et lui demande d’attendre.
- Vous pouvez venir ! Crie Daniel.
Les bruits de pas l’affolent, ils ne parlent pas, en restant silencieux il ne lui permettent pas de savoir combien de personnes sont là, combien de personnes vont la baiser.
- Nous allons commencer par chauffer la belle, je tiens à ce qu’elle se donne à vous comme il se doit. Donne tes mains !
Vanessa tend ses mains devant elle, son Maître la guide sous la chaîne avant de lui faire toucher les menottes.
- Attache-toi toute seule, je vais te fouetter pour commencer. Je veux que mes amis voient que tu es volontaire. Cela les rassurera pour la suite.
« Les rassurer pour la suite » fait monter l’adrénaline de Vanessa. Elle prend conscience que son fantasme va se réellement réaliser, la peur lui noue aussitôt la gorge. Ses mains tremblent et peinent à fermer les menottes sur ses poignets. Les clics la font frémir comme le contact de l’acier. En même temps, le fait de savoir qu’elle ne peut plus reculer l’excite un maximum.
Les mains de son Maître la font frémir quand il commence à la dévêtir. La jupe tombe en corolle à ses pieds, fidèle aux valeurs de sa soumission, elle n’a pas de culotte ni de soutien-gorge pour être « disponible » quand il le souhaite. Il ouvre son petit chemisier qu’il fait remonter jusqu’à sa nuque. Elle n’a pas mis de tee-shirt comme il le lui a toujours interdit. La pointe de ses seins dardent déjà, trahissant son excitation avant même que la séance ne commence. Son Maître n’a pas à lui demander d’écarter les jambes, ce réflexe Vanessa l’a conservé. Les six hommes présents, dont quatre ne sont pas habitués à ce genre de rencontre savourent le spectacle d’une aussi jolie fille qui s’offre nue et entravée à leur regard.
Soudain, les lanières d’un martinet s’abattent sur sa croupe gracieuse délicatement galbée. Sa réaction de se cambrer pour mieux s’offrir surprend les quatre hommes ne connaissant pas le BDSM. Les coups se mettent à pleuvoir sur tout son corps, elle ne fait rein pour les éviter et se cambre plus encore. Le claquement du fouet la fait bondir, il y a si longtemps qu’elle ne l’a pas reçu qu’elle a un peu peur. Daniel a décidé d’être soft ce soir et de ne pas la marquer, enfin, pas tout de suite afin de ne pas perturber les libertins hardeurs qu’il a trouvé. Elle se plie et s’agite parfois quand les coups sont plus appuyés mais reprend aussitôt sa position d’offrande.
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Dit-leur que tu aimes ça !
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Oui Maître, j’aime ça.
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Dit-leur que tu veux qu’ils te baisent sans limite comme des sauvages !
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Oui j’ai envie ! Répond Vanessa sans pouvoir formuler la phrase demandée.
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Si tu ne répètes pas la phrase exacte, je m’arrête, je te libère et je te mets dehors !
Un blanc se pose, Daniel attend, il sait que c’est dur pour elle de dire ça à des inconnus qu’elle ne voit même pas.
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Désires-tu que je te libère ou vas-tu leur dire pourquoi tu es venue ? Je commence à compter.
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Non Maître, s’il vous plait. Oui je suis venue me faire baiser sans limite. Je veux être à vous comme vous le voulez. Maître vous m’attacherez s’il vous plait ?
Les quatre libertins hardeurs salivent en assistant à cette demande, un cul comme ça les fait déjà bander, le sans limite décuple leurs envies.
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Bien, pour te féliciter je vais te fouetter encore un peu !
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Merci Maître, j’en ai besoin ! Murmure Vanessa peinant à se remettre dans sa bulle fantasme.
Quelques coups de fouet plus tard, Vanessa se donne à la lanière, elle l’attend même. Des étoilent se mettent à briller dans sa tête, son Maître lui refuse la jouissance et s’arrête en voyant qu’elle part dans les brumes évanescentes de la jouissance dans la douleur. Il libère ses poignets puis lui fait un petit shibari bloquant ses bras dans son dos.
- A genoux chienne. Embrasse mes pieds !
Vanessa ne répond pas et s’exécute aussitôt.
- Bien maintenant les mecs vont t’appeler, tu dois les trouver à l’aveugle et leur présenter tes plus humbles respects avec ta bouche aux bites qui vont te faire honneur.
Sifflée comme un chien, elle s’approche et cherche les hommes, bons joueurs certains guident sa tête jusqu’à leur verge tendue et gorgée de désir. Un par un elle les suce comme demandé et découvre qu’ils sont six en plus de Daniel.
- Cela suffit, il est temps de passer aux choses sérieuses. Dans un premier temps je vais te détacher et te conduire au matelas où tu leur seras livrée en pâture. je crois qu’ils ont clairement compris que tes réfutations ne doivent pas être écoutées. Je te rattacherai ensuite si tu me fais honneur voir même, je te garderai la nuit pour finir de t’achever en tête à tête.
Conduite dans une chambre ayant qu’un matelas jeté à même le sol comme seul mobilier, elle tremble de peur. Son Maître lui retire le bandeau, elle aurait préféré le garder mais elle n’a pas et surtout plus aucune possibilité de refuser quoi que ce soit.
-
Vous ne ferez pas trop mal ? Demande Vanessa d’une tout petite voix presque larmoyante.
-
Si, nous allons te démonter ma puce ! Lui répond Daniel de sa voix provocatrice qu’elle connaît si bien quand il est joueur.
Un par un les hommes entrent, certains sont déjà nus, d’autres en slip. Son Maître pose deux tubes de lubrifiant et des préservatifs ainsi qu’une poubelle. La vision que le lecteur ne peut avoir est celle d’une très belle jeune fille d’un mètre soixante, cheveux châtains mi-longs. La peur accentue encore son visage juvénile, assise et recroquevillée sur le matelas on dirait un petit chaton entouré de loups affamés.
Attrapée par la main, Vanessa est attirée vers l’un des hommes qui guide sa tête vers sa verge tendue. Elle officie aussitôt en plongeant sur ce sexe comme pour conjurer le mauvais sort. Palpée, tripotée par les hommes, son corps disparaît presque de la vue de Daniel. Vanessa recommence petit à petit à entrer dans son trip. Elle a été piégée par des hommes qui vont la posséder et la défoncer sans qu’elle ne puisse y échapper. La chose ne tarde pas à se faire, presque soulevée elle se retrouve à quatre pattes, fesses offertes. La possession est immédiate, le plaisir aussi, elle en salive secrètement d’avance sans aucune honte, ce n’est pas sa faute, c’est son Maître qui l’oblige.
Prise d’une impérieuse envie de sexe, elle devient mentalement une véritable esclave sexuelle jouissant de cet homme lui défonçant la gorge et de ce coït sauvage. Traversée de spasmes de plus en plus intenses, complètement prise par un sexe qui la besogne, elle atteint le plaisir en poussant de petits cris étouffés sous les assauts ininterrompus. Pendant plus d’une heure les hommes se relaient pour la posséder, dans tous les sens.
- Le cul de ma pute est aussi en open bar, n’hésitez pas si elle couine au début après elle chantera. Leur rappelle Daniel.
Le seul en forme pour ouvrir le passage est monté comme un âne. Vanessa prend peur devant sa taille et tente de dire « non ». Son Maître intervient et leur demande de la tenir fermement. Étendue sur le dos avec les jambes et les bras tenus près de son visage, elle sait qu’elle ne va pas pouvoir y échapper.
Elle crie un peu au début et demande grâce mais rien n’y fait, au contraire, Daniel les encourage et la bâillonne de la main. Malgré la souffrance et l'humiliation d’une sodomie quasi publique, Vanessa finit par éprouver d’étranges sensations voluptueuses, si vives et si bouleversantes, qu'elle feule doucement. Une onde de plaisir monte dans son ventre en se disputant avec sa raison. La douleur du début a fait place à un feu entretenu qui lui chauffe tout le corps. Tenue par les hommes qu’elle suce bien malgré elle, Vanessa ne peut s'empêcher de gémir de plus en plus fort et sent le plaisir monter en elle. Elle perd progressivement conscience des réalités et s’abandonne aux plaisirs odieux qui la dépassent. Son anus épanoui s’extasie et cette pénétration génère des plaisirs enivrants et surprenants vu la taille de l’objet. Quelque chose de pervers anime de nouveau tout son bas ventre. Elle les voudrait tous en elle tout en voulant que cela s’arrête.
Vanessa plane totalement sur les nuages du plaisir, plaisir accentué par la fatigue des orgasmes, l’adrénaline, les endorphines, la soumission à ce plaisir pervers, malsain. Elle s’écroule de fatigue, on lui donne des gifles et lui colle une verge dans la bouche. Dans un instant de lucidité, elle se demande d'où lui vient l'étrange plaisir d’être ainsi malmenée quand sa féminité en redemande. Un spasme l’a traverse encore, elle tremble, des mouches passent devant mes yeux, elle est désespérément conquise par ces sauvages qui la ravagent. Elle éprouve un plaisir dingue et pitoyable et s’y abandonne bien volontiers quand leur d’eux pose sur son clitoris le vibro que lui tend Daniel. De terribles ondes nerveuses traversent son fourreau intime. Le sextoys cumulés aux mains avides, à la verge qui la laboure et à sa condition de « prisonnière » font qu’elle est outrageusement satisfaite des fulgurantes décharges électriques la transportent.
- Faites-lui une double, je suis sûr qu’elle va adorer.
L’un des hommes s’allonge sur le matelas, Vanessa s’empale d’elle même sans réfléchir quand ils la guident, elle n’a pas entendu qu’ils allaient lui faire une double pénétration. Elle n’en prend conscience que lorsqu’une belle verge se pose contre son anus devenu accueillant. Elle ne masturbe pas les verges qu’ils collent dans ses mains, non, elle s’y tient pendant qu’elle suce l’un d’eux. Elle voudrait fuir, tout arrêter mais ne le peux. Ils la tiennent fermement et ne lui laissent aucun répit ni choix, la verge trouve le passage et s’y engouffre.
Ses orifices se contractent sur les verges qui la comblent, son corps est traversé de spasmes incontrôlés et incontrôlables. Pour Vanessa, c’est la bérézina psychologique.
Elle se met à hurler de plaisir comme jamais, ces contractions son tellement fortes qu’elle en expulse la verge de son vagin. Dans un état second, comme si elle était commandée par une volonté extérieure à sa volonté, elle mange des lèvres l’homme couché sous elle et l’embrasse à pleine bouche. Elle est gagnée par une sorte de frénésie, la jouissance monte à nouveau gagnant son cerveau chaviré par le rut sauvage de cette verge qui ravage son anus. Elle tremble, des mouches devant ses yeux, elle est désespérément conquise.
Totalement épuisée par l’orgasme qui vient de la terrasser, Vanessa ne réagit plus, ne s’inquiète plus. Elle plane dans un autre monde.
De terribles ondes nerveuses traversent son corps quand l’un d’eux la met à genoux et plaque sa tête contre le matelas. Son sexe et ses reins semblent affamés. Elle est outrageusement satisfaite, de fulgurantes décharges électriques la transportent. Prise par la vague de bien être qui émeut dramatiquement sa féminité et son mental, Vanessa se met encore à crier son plaisir puis hulule brusquement, et, perdant totalement conscience des réalités crie un long « oui » avant de lécher les pieds d’un des hommes sous les plaisirs odieux qui ravagent son corps et ses reins.
Vanessa ne se rend pas compte qu’elle geint comme une bête aux abois une fois abandonnée seule sur le matelas par les hommes épuisés. Deux heures non stop de baise sous la contrainte l’ont achevée. C’était trop fort pour elle, Vanessa n’en voulait pas autant, sous une couverture que lui a jeté Daniel, son corps continue de convulser pendant un long moment.
-
Alors ma petite puce, on se remet ? Lui demande Daniel le lendemain quand elle arrive dans la cuisine pour prendre un café.
-
C’est démentiel, trop fort, trop bizarre, trop intense. Même si c’était odieusement bon, cette fois j’ai dépassé mes limites. Je ne regrette pas de l’avoir fait, mais je ne recommencerai plus.
-
On dit ça .......
TSM
PRECISIONS
Les femmes dites soumises sexuelles ne sont pas des objets. Elles choisissent librement et ce sont des jeux d'adultes consentants.
Toutes les soumises ne sont PAS soumises sexuelles.
Toutes les femmes ne sont PAS soumises.
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Belle histoire , merci | |
Bravo pour ce beau récit ! | |
Ca donne chaud!! jolie histoire! |
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